
Hôtelier-restaurateur à Cajarc depuis 2016.
« Avec ma femme Valérie, nous gérons un hôtel, un gîte étape, un restaurant et un centre de relaxation. Nous sommes arrivés de Champagne. Ce qui m'a séduit ici, c'est ce qui est résumé dans notre accroche à l'hôtel : on y est très cosy, très relax, très Lot quoi ! Il faut dire que Valérie et moi, nous sommes passés d'une métropole, à un territoire vierge, doté d'une vraie "sérénité environnementale". J’adore Pech Laglaire à Gréalou. Il s'agit d'un dolmen inscrit au patrimoine de l'UNESCO. Situé sur le GR 65, avec une vue panoramique, entre vallées du Lot et Célé et une vue imprenable c'est vraiment un coin sympa qui nous rend humain et humble ».
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« Le Lot et les jeux vidéo, ça bouge ! »
« Il me tarde que ça commence ». Avec son association Gaming Lan Arena, Stéphane Rouquié s’implique déjà dans la préparation de la 1ère compétition Lot Esport qui aura lieu à Cahors les 13 et 14 avril 2019. Un tel événement consacré aux jeux vidéo, dans le Lot, il en rêvait depuis longtemps.
A 32 ans, cet infirmier baigne dans cet univers depuis son enfance : il a participé à l’organisation de grandes compétitions en tant que bénévole et a déjà créé avec ses amis de petits événements « pour se retrouver, s’amuser et jouer ». Ce premier grand tournoi lotois (autour du jeu de stratégie Hearthstone) sera l’occasion de proposer une autre image du département, plus jeune.
Originaire de Gourdon, Stéphane Rouquié a toujours vécu dans le Lot, un endroit qu’il aime car il reste « à échelle humaine ». Et un département qui, selon lui, bouge au niveau sportif et culturel.
Retrouvez toutes les informations concernant la compétition Lot Esport sur http://lot.fr/actualites/e-sport.
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Chef cuisinier au collège Gambetta à Cahors.
Doté d’une nature gourmande et d’un père cuisinier, Serge Conquet était prédestiné au monde gastronomique. Après être passé par le lycée hôtelier de Souillac et après plusieurs expériences dans les hôtels et établissements, c’est pourtant par hasard qu’il découvre le milieu de la restauration collective : « j’ai démarré par un, puis deux, puis trois remplacements et puis j’y ai vu une opportunité ». Depuis 2004, il est le chef cuisinier du collège Gambetta à Cahors où il prépare 700 repas par jour (92 000 par an) : « le but ultime est de fournir une restauration de qualité. C’est un challenge quotidien de fournir un plateau dans le respect du plan alimentaire. » Attaché à la qualité, Serge et son équipe travaillent en étroite collaboration avec la Chambre d’agriculture pour favoriser l’achat de produits locaux. « La cuisine c’est une découverte à chaque instant, on retrouve des vieux légumes, des vieux fruits, des recettes d’antan… C’est passionnant, on sait pourquoi on se lève le matin ». Au collège, il organise des repas à thème avec animations, passerelles avec les enseignements, promeut la saisonnalité… Au salon international de l’agriculture, il sera le porte-voix de l’utilisation des produits locaux dans la restauration collective. Des préparations qu’il fera déguster au plus grand nombre.
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Président de Transhumance en Quercy, organisateur de la Transhumance Rocamadour-Luzech.
C’est l’envie de vivre du pastoralisme itinérant qui a conduit Jean-Louis Issaly à créer l’association Transhumance en Quercy en 2003. Avant de structurer la démarche, Jean-Louis a pratiqué « d’une manière improvisée » pendant deux ou trois ans. « Dans le Lot, c’était une innovation car ça ne correspond pas à la tradition pastorale du Quercy ». Et pourtant aujourd’hui l’association rayonne et attire les jeunes éleveurs. « Je suis réellement reconnaissant des appuis que j’ai reçus pour impulser cette pratique. Ce qui m’a amené là, c’est le besoin d’échanges. Avec la Transhumance, le groupe de professionnels que nous sommes va au-devant du grand public. On explique, on partage et on s’ouvre aux autres. Le monde agricole a besoin de ces ouvertures. C’est pourquoi je suis encore dans ce milieu-là, vieux berger et ancien responsable agricole que je suis. ». Pour lui, élevage et paysages « ne peuvent aller l’un sans l’autre. Ce sont deux valeurs indissociables ».
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Parisienne d'origine, elle a ouvert des chambres d'hôtes à Montcuq en 2017.
« Je suis Lotoise de cœur depuis plus de vingt ans. Nous louions un gîte chaque été près de Sauzet. Nous avons découvert toute une région préservée et le luxe de prendre le temps. Sans oublier la gentillesse des Lotois, l’authenticité et la beauté des villages, la lumière, le calme, la douceur de vie, la nature, les sites à visiter et bien sûr la gastronomie ! »
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Jeune bergère en cours d'installation sur une exploitation ovine de Montfaucon.
Originaire du Loiret, Camille Joly a trouvé sa voie dans le Lot. « J'ai toujours aimé le contact avec les animaux. Je ne suis pas issue du milieu agricole mais mes parents m'ont donné l'envie de m'intéresser à ce domaine en m'emmenant régulièrement à la campagne ». Après des études agricoles, elle a effectué un stage avec l'association « Transhumance en Quercy », qui lui a permis de valider sa licence professionnelle et qui a débouché sur un service civique. Cette expérience professionnelle a permis à Camille de s'insérer désormais dans le réseau d'acteurs de la filière ovine du Lot. « L'élevage de brebis est un véritable savoir-faire qui mérite toute sa place dans le département et je suis heureuse de participer à faire perdurer un métier ancestral ».
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« Le Lot nous a offert le quotidien que nous voulions »
« J’ai tout de suite adoré cette région que je ne situais même pas sur une carte ! ». Angélique Sabarros s’est installée à Lacave en 2010, où elle a créé Karteko, un atelier de design écologique.
« Je suis landaise d’origine, ma moitié des Hautes-Pyrénées. Nous n’avons pas hésité à prendre la décision de nous installer loin de nos familles et de construire notre histoire dans le Lot ».
Aujourd’hui, « Oh my Lot ! » trouve un écho auprès d’Angélique. Si bien qu’elle a souhaité devenir ambassadrice de la démarche.
« En 2011, j’ai monté ma petite entreprise qui offre une nouvelle vie aux matériaux qui auraient dû être jetés. Les débuts ont été balbutiants mais l’atelier a fait son bout de chemin. Le Lot nous a offert le quotidien que nous voulions. A nous aujourd’hui de lui rendre car ce département a un énorme potentiel ... ».
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Le programme « Oh my Lot ! » est mené par de nombreux partenaires dont, côté institutions, les communautés de communes. Vincent Labarthe, président du Grand Figeac, adhère à la démarche, en ambassadeur du Lot convaincu. Depuis les hauteurs du Ségala dont il est originaire, il voit loin : au sens propre (des Pyrénées au Massif Central !) comme au sens figuré (pour l’avenir du Lot).
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« Ici, on a tout ce dont on a besoin, tout en étant serein »
Florence Raynal utilise déjà le slogan « Oh my Lot ! » dans la signature de ses courriels. Un petit geste simple qui traduit l’engagement de cette ambassadrice du Lot, à la tête de Raynal Voyages (Cahors), Voyages Antunes (Prayssac) et Voyages Castelnau (Gourdon), trois entreprises de transports de voyageurs, ancrées dans le département depuis des dizaines d’années et qui emploient au total 130 personnes.
Elle participe depuis plusieurs mois, en tant que chef d’entreprise, aux groupes de travail mis en place pour développer l’attractivité du Lot. « Je me suis impliquée dès le démarrage parce que j’aime mon département, j’en suis fier, et je l’ai toujours fait connaître au-delà. Je suis partie pendant dix ans vivre à l’étranger, mais je suis revenue avec plaisir, près de ma famille et de mes amis de toujours. Ici, on a tout ce dont on a besoin, tout en étant serein ». Et elle énumère les atouts du Lot : « Qualité de vie, patrimoine, gastronomie, gentillesse des Lotois.. ».
Pour Florence Raynal, il est primordial d’attirer de nouveaux habitants pour enclencher une dynamique économique. « Dans nos métiers, nous avons des difficultés à recruter car nous avons recours à du temps partiel ; l’une des solutions serait de développer le temps partagé dans les divers secteurs d’activité pour rendre notre territoire attractif ».
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Fabien Galthié, international de rugby à XV, était présent au lancement de la marque territoriale Oh my Lot ! à Souillac le 4 décembre dernier. Originaire du Lot, il est naturel pour lui de se faire ambassadeur de notre territoire. "J'aime cette terre...cela a toujours été mes racines".
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