
Le Président de l’Association des Campings du Lot, Christophe Watrlot a fait le point sur l’opération menée en partenariat avec « Oh my Lot ! » pour inciter les touristes à venir s’installer sur le territoire.
Les campings du département ont été dotés de supports de promotion du programme d’attractivité à destination des touristes, dont des sets de tables, cartes postales et flyers. « L’opération est bonne » estime d’emblée le propriétaire du camping La Chêneraie de Saint Géry. « Les premiers ambassadeurs du Lot, c’est nous ajoute-t-il, nous sommes le principal point de contact des touristes avec le Lot ».
« Nombreux sont les nouveaux Lotois qui sont d’abord venus en tant que touristes », explique Christophe. Un fait corroboré par les données récoltées par le programme d’attractivité « Oh my Lot ! », dont la campagne estivale ciblait précisément les touristes tombés amoureux du Lot pendant leurs vacances. La documentation d’« Oh my Lot ! » fournie aux vacanciers par les campings permet de répondre à leurs interrogations, et de les renvoyer vers le réseau accueil. « Nous avons beaucoup de touristes qui nous posent des questions pour savoir comment s’installer dans le Lot, raconte le propriétaire de camping. Ils demandent notamment quelles industries sont présentes sur le territoire, pour savoir si c’est compatible avec leur profession » complète Christophe.
L’attrait du Lot pour les touristes n’est pas nouveau selon lui. « J’ai un ancien client, kinésithérapeute, qui est désormais mon voisin, évoque-t-il. Un autre a repris une épicerie-bar-tabac sur le territoire. Il y a plusieurs anciens clients que je croise au supermarché, et qui m’annoncent qu’ils viennent d’acheter dans le coin ! » Si les touristes sont séduits par le Lot, c’est un peu grâce à ses paysages. Mais aussi grâce à son cadre de vie, et à la promotion qu’en font nos ambassadeurs comme Christophe. « Quand on leur raconte notre mode de vie, ils ont des étoiles dans les yeux, raconte-t-il. J’emmène parfois des clients en randonnée. Quand en arrivant sur un point de vue je leur explique que nous y faisons régulièrement des pique-niques en famille, je vois leurs yeux commencer à briller… »
Pour cet acteur du tourisme, la promotion du Lot comme lieu de vie et non seulement comme lieu de villégiature est primordial : le tourisme ne se suffit pas à lui-même « Nous avons besoin de développer nos services. La population du Lot est vieillissante, analyse Christophe. L’installation de nouvelles familles permet de pérenniser l’épicerie du village par exemple. Et ça, c’est aussi bon pour nos anciens » assure-t-il.

Lotois d’adoption, Régis Martin n’hésite pas à mettre le territoire en avant depuis son club de tennis, situé à Saint-Céré. A ses yeux, « c’est important d’avoir plus de monde sur le territoire, et plus d’entreprises pour le faire vivre. Il y a déjà un tissus associatif dense et vivant, il faut aussi le faire savoir ».
C’est avant tout par ses fonctions au sein du Tennis Club de Saint-Céré, dont il a pris la présidence il y a trois ans, que Régis Martin promeut le plus activement le Lot. Régis s’est prêté au jeu d’« Oh my Lot ! » en donnant accès à un cadre d’exception pour les nouveaux visuels du programme d’attractivité : depuis les courts, la vue sur le château de Saint-Laurent-les-Tours est imprenable !
Le club est en effet doté d’une spécificité bien à lui : entre deux sets, on peut contempler la forteresse perchée de Saint-Laurent-les-Tours. « Lorsque l’on organise des rencontres, les joueurs et équipes venues de loin sont toutes jalouses de la chance que l’on a d’avoir une telle vue ! », raconte-t-il. Les courts ont servi de décor à une séance photo pour « Oh my Lot ! » : aux yeux de Régis, il est primordial de faire connaître le département et d’y attirer de nouveaux arrivants.
« C’est important d’avoir plus de monde sur le territoire, et plus d’entreprises pour le faire vivre. Il y a déjà un tissus associatif dense et vivant, il faut aussi le faire savoir. Et les gens ont envie de venir : la pandémie a vraiment changé les esprits, analyse Régis. Aujourd’hui, avoir un coin de campagne, se ressourcer, c’est possible dans le Lot. Le département est très riche, aussi bien pour ses paysages qu’au regard de sa superbe architecture. A travers le Lot, on croise sans cesse des maisons à colombage, des châteaux ou encore des pigeonniers. »
Si au Tennis Club de Saint-Céré l’essentiel des effectifs est composé de joueurs locaux, de nouveaux arrivants viennent régulièrement compléter les rangs. « Les grandes entreprises des alentours font venir de nombreuses personnes sur le territoire », explique le président du club de tennis. La commune accueille Sermati et FIVES, qui conçoivent des lignes d’assemblage pour l’industrie. On retrouve aussi non loin de là le géant du fruit Andros, plus connu du grand public. C’est d’ailleurs sur les réseaux sociaux et dans les associations, mais aussi au sein des entreprises que Régis a d’abord entendu parler d’« Oh my Lot ! ». Le programme d’attractivité aide tant les entreprises à trouver de nouveaux profils que les nouvelles recrues à s’installer sur le territoire.
Originaire de l’Aveyron, Régis est lui-même tombé sous le charme du Lot depuis qu’il y a emménagé, au cours de son adolescence. Il y est revenu après quelques années d’études à Toulouse : d’abord grâce à un stage, ensuite en tant que chargé d’affaires, puis pilote industrialisation au sein d’AddUp, spécialiste de l’impression 3D métallique pour l’aéronautique.

« On a un savoir-faire unique en France, on est la dernière entreprise à faire du tranchage de bois et on s’est battus pour le conserver dans le Lot, en zone rurale. »
Agnès Aubertin officie depuis longtemps à la tête de France Noyer, une société spécialisée dans le tranchage du bois. Un savoir-faire presque disparu de France, qui vaut à Agnès Aubertin de représenter le Lot à la Grande Exposition du Fabriqué en France, qui se tient les 1er et 2 juillet au palais de l’Elysée.
Arrivée à Figeac à 6 ans, Agnès est un talent qui a grandi dans le Lot. Elle a ensuite fait ses études à Bordeaux avant de revenir sur le territoire, où elle a tout de suite intégré France Noyer. Elle est entrée dans l’entreprise à l’occasion de son stage d’études, en 1992, pour n’en plus ressortir. Agnès en a d’ailleurs pris les commandes dès 1998.
Située à Assier, la société fabrique des feuilles de bois d’un demi millimètre d’épaisseur, destinées à orner des panneaux décoratifs, meubles et tableaux de bord de voitures de luxe, ou encore à l’aménagement intérieur des bateaux. Car le processus de fabrication de ces plaquages est plus complexe qu’il n’y paraît, et ce dès la collecte du bois.
Les bûcherons de l’entreprise ne scient pas les arbres, mais les arrachent du sol « comme des poireaux » raconte Agnès Aubertin. « Cela permet de maximiser la taille du tronc, et donc des feuilles de plaquage ». Celles-ci feront toute la longueur du tronc. « Le bois est ensuite cuit à la vapeur, puis découpées par des trancheuses, des machines qui ressemblent à de grandes trancheuses à jambon, avant d’être séchées » évoque la directrice de l’entreprise.
Avec son processus unique, l’entreprise lotoise a obtenu le label Entreprise du Patrimoine Vivant en 2022. Depuis la pandémie, France Noyer est le seul artisan français capable de faire ce tranchage. Justement, ce sont les entreprises rurales et leurs savoir-faire uniques qui ont été mis en avant par le jury de la Grande Exposition du Fabriqué en France cette année. Une thématique faite sur mesure pour Agnès !
L’aspect artisanal et unique n’empêche pas France Noyer d’être une entreprise d’ampleur internationale : Agnès exporte la moitié de sa production vers l’étranger. L’an dernier, les plaquages d’Assier ont été envoyés vers 17 pays différents.

Productrice aux jardins du Mas de Greil, Marie ne fait pas semblant d’être ambassadrice « Oh my Lot ! ». Elle propose des produits locaux et parle automatiquement du territoire, mais aussi des partenaires, du site choisirlelot.fr et des réseaux sociaux « Oh my Lot ! ». Entre le logo sur son stand au marché, le pin’s sur sa veste ou l’autocollant sur sa voiture… Parfois, même pas besoin de parler !
Originaire du Tarn-et-Garonne, la carrière de Marie a commencé en Allemagne en tant que militaire. Puis elle s’est installée dans le Lot, la terre natale de son mari. Elle a passé un Brevet Professionnel Responsable d’Exploitation Agricole (BPREA) à la Chambre d’agriculture et a créé les jardins du Mas de Greil sur les terres familiales à Vers. Elle y cultive des produits tout aussi divers que passionnants : fleurs comestibles, micro-pousses, safran, lavande, miel, légumes…
« La cueillette fait partie de moi : j’ai toujours aidé ma grand-mère à ramasser les récoltes de son potager. L’idée des jardins du Mas de Greil m’est donc venue naturellement. A la demande d’un restaurateur, j’ai commencé par les fleurs comestibles et les micro-pousses : il s’agit des premières double-feuilles constitutives de la graine, qui sont particulièrement fortes en goût et riches en vitamines et sels minéraux. Pour diversifier la production, j’ai planté du safran du Quercy et de la lavande, que j’utilise pour l’herboristerie. Comme les fleurs ont besoin des abeilles pour assurer leur pollinisation, mon mari a créé son atelier : avec un tour à bois, il fabrique ses ruches et produit son propre miel des Causses du Quercy. Nous utilisons les légumes du potager pour notre bar à salade lors des événements de l’été (marchés gourmands, Lot Of Saveurs…) Nous vendons également des plants aux particuliers. Tous nos produits sont commercialisés en ultra local. Enfin, nous accueillons des visiteurs aux jardins du Mas de Greil pour des stages ou des balades d’initiation à la cueillette sauvage. Cela nous permet d’avoir des activités toute l’année. Pendant la période calme de janvier, je fais de l’administratif ou des formations. L’adaptation est le nerf de la guerre de notre métier : répondre à la demande et se renouveler, planter en fonction du sol et du climat… J’ai récemment décidé de construire mon atelier grâce au financement participatif : j’aimerais y proposer des ateliers cuisine, pour tout savoir de la terre à l’assiette ».
Marie s’est tellement bien adaptée au territoire, qu’elle n’a pas mis longtemps à rejoindre le réseau d’ambassadeurs « Oh my Lot ! » A travers son métier, elle ne manque pas une occasion de faire parler du Lot, sur les marchés hebdomadaires et saisonniers par exemple. Non seulement elle arbore fièrement le logo sur son stand, mais elle l’utilise aussi sur certains produits comme ses infusions. Quoi de mieux que la bulle pour valoriser une production locale et montrer « qu’ici on est bien, ici on vit bien et avec des produits de qualité » ? En tant que présidente d’une association de parents d’élèves, cette maman dynamique parle aussi de la démarche d’attractivité aux nouveaux parents. Dans le Lot, Marie a su concilier vie professionnelle et vie personnelle. « A chaque fois que je vais livrer à Toulouse, je me dis qu’on a de la chance de vivre dans un département avec autant de producteurs et de lieux à visiter. C’est l’endroit parfait pour une vie de famille. Nos trois garçons participent activement à nos projets et deux d’entre eux sont apprentis dans des restaurants locaux. Notre fille passe son temps avec nous, même l’été lorsqu’on expose sur les marchés ».
Malgré le peu de temps dont elle dispose, Marie travaille sur l’écriture d’un livre jeunesse sur les fleurs comestibles, avec toutes les recherches et les photos que cela implique. Chapeau bas !

Lotoise d’adoption, Marie est complètement tombée sous le charme du département et de ses habitants. Cette ambassadrice « Oh my Lot ! » coche toutes les cases : suivie par près de 10 000 abonnés sur Instagram, elle publie un grand nombre de contenus avec le hashtag #ohmylot et fait la promotion du territoire sur les réseaux sociaux.
En tant qu’institutrice, Marie a fait ses débuts sur Instagram avec un compte éducatif. Lorsqu’elle a débarqué dans le Lot, elle s’est mise à partager des bons plans (balades, restaurants…) et des photos de paysages emblématiques Lotois pour le plus grand plaisir de sa communauté. Non seulement elle publie son quotidien de Lotoise, mais elle répond aussi aux questions de ses abonnés sur le changement de vie, les itinéraires touristiques… « Je suis ravie d’aider les personnes qui viennent en vacances ou s’installer dans le Lot. Je serais même prête à les recevoir et leur faire visiter le département ». L’année dernière, Marie a mis en place un calendrier de l’avent Instagram pour faire découvrir les producteurs lotois. En mars, elle organise un jeu concours permettant de gagner un séjour à Rocamadour. Pour mettre en lumière le territoire, qui dit mieux ?
Marie passait ses vacances chez sa belle-famille dans le Lot depuis plusieurs années. S’y installer, elle en rêvait. Un souhait qui est devenu réalité avec l’achat d’une maison à Sarrazac en 2020 : « j’ai demandé ma mutation, que j’ai eue la chance d’obtenir l’année d’après. Nous avons passé l’été 2021 à déménager d’Amiens à Sarrazac. C’était un bonheur intense. Dans le département du Lot, j’apprécie le calme, les grands espaces et la proximité avec des villes comme Cahors, Brive ou Toulouse. J’ai enfin trouvé un endroit où je me sens chez moi et une qualité de vie sans pareil. Fini le stress, les embouteillages, le rythme de vie effréné… La proximité familiale est également appréciable. Ici on croise toujours quelqu’un qu’on connaît, même indirectement, et on prend le temps de discuter. Le changement a été très bénéfique pour mes enfants : à l’école, les professeurs les connaissent vraiment et ils se sont intégrés facilement ».
En dehors de l’école, Marie s’adonne à de nombreuses activités : randonnées, canoë, pétanque, ski au Lioran (à 2h de chez elle), marché de Martel, festivités en tout genre… Même le week-end, elle n’a pas le temps de s’ennuyer (et se sent toujours en vacances) !

Début décembre, le club de rugby subaquatique de Puy-L’Evêque jouera encore sa carte d’ambassadeur à l’occasion d’un tournoi en Suède. L’équipe arborera fièrement des maillots de bain « Oh my Lot ! » : un moyen de promouvoir le territoire pour le moins original ! Julien Muller, co-fondateur et président du club, a à cœur de valoriser le Lot à travers les tournois auxquels le club participe en France et en Europe.
Le rugby subaquatique, quézako ? Un sport se jouant en apnée à 360°, c’est-à-dire dans tout l’espace aquatique du sol à la surface de l’eau. Deux équipes de six joueurs s’affrontent. Le but : attraper un ballon rond lesté à l’eau salée d’environ 2 kilos, et le placer dans la cage adverse positionnée au fond de l’eau. « C’est un sport de contact léger, car sans impact. Il est complet : il fait travailler la nage, la respiration, la coordination, le cardio… Chacun peut trouver sa place, quelque soit l’âge, le sexe ou le poids. Tout le monde joue dans la même équipe. A Puy-L’Evêque, nous avons plusieurs femmes et jeunes de moins de 18 ans. Certains joueurs font plus de 30 kilomètres pour venir à l’entraînement. Le rugby subaquatique gagnerait à être connu, il est peu médiatisé car c’est compliqué de filmer sous l’eau et de retransmettre à la télévision en même temps ». Les initiations au rugby subaquatique au collège de Puy-L’Evêque sont d’ailleurs l’occasion de faire découvrir cette discipline aux jeunes qui pratiquent déjà la natation.
Julien et le club s’engagent dans la démarche « Oh my Lot ! » à différents niveaux : hashtag #ohmylot, logo sur leurs supports de communication, maillots « Oh my Lot ! » pour tous les joueurs. Une belle visibilité pour le territoire, surtout lorsque l’on sait qu’il s’agit d’un des cinq clubs de rugby subaquatique de France. De plus, les 18 joueurs se déplacent en France et en Europe pour des tournois comme la coupe de Gascogne à Bordeaux, le tournoi de Madrid ou celui de Suède à venir prochainement. Ils deviennent ainsi les ambassadeurs d’une discipline insolite, qui montre le bien vivre et le dynamisme du Lot en matière de sport. « Le programme « Oh my Lot ! » me parle tous les jours. Par exemple, dans le cadre de l’opération Ordi’Lot organisé par le Département, j’ai participé à la distribution d’ordinateurs aux collégiens. Ils étaient livrés avec un autocollant « Oh my Lot ! » et j’incitais tous les parents à le coller sur leur voiture ».
Né à Grasse, Julien a rejoint le Lot il y a 19 ans. Il a passé les concours pour entrer dans la fonction publique territoriale. Il travaille aujourd’hui pour le Département du Lot, et occupe le poste de chef de chantier au centre d’exploitation de Luzech.
De plus en plus de Lotois prennent des initiatives qui contribuent à faire rayonner le territoire. Vous aussi, rejoignez le réseau des ambassadeurs « Oh my Lot ! »

Marie, fidèle ambassadrice « Oh my Lot ! » et pâtissière à Martel, met le Lot à l’honneur dans le cadre de son activité professionnelle. 100% Lotoise, elle représente fièrement « le plus beau département de France » tous les jours et sur les marchés.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’« Oh my Lot ! » lui colle à la peau ! Marie fait tout son possible pour faire parler du territoire : sur les marchés avec des banderoles customisées, sur les réseaux sociaux en utilisant systématiquement le hashtag #ohmylot… Être ambassadrice, c’est carrément une philosophie de vie pour cette enfant du pays. Elle ne quitte jamais son totebag « Oh my Lot ! », et a aussi apposé un sticker sur sa voiture de livraison. Les valeurs de la marque se retrouvent jusque dans sa pâtisserie : « Je suis attachée aux produits du Lot, et je me fournis localement autant que possible. Mes cannelés sont 100% Lotois par exemple ! Certains disent même qu’ils sont meilleurs qu’à Bordeaux : normal, ils sont fait avec amour ET par une Lotoise ! »
Originaire de Baladou, Marie a étudié au lycée hôtelier de Souillac et a passé la Mention Complémentaire Pâtisserie à Biarritz. Elle est revenue dans le Lot pour son premier emploi salarié à l’Hôtel de La Terrasse à Meyronne. Puis elle est partie pendant quatre saisons dans un restaurant d’altitude à Val Thorens. « En tant que cuisinière, cette expérience a énormément compté et a nourri mon parcours actuel. Il y avait un côté familial comme dans le Lot, et les gens m’ont fait grandir. Je n’ai jamais cessé de revendiquer mes racines lotoises, et j’ai réalisé que je ne voulais vivre nulle part ailleurs ».
De retour dans le Lot pour raisons familiales, Marie s’est lancée dans la pâtisserie sur Martel en 2019, après cinq ans en tant que cuisinière salariée. Un clin d’œil à sa grand-mère, qui lui a transmis cette passion ainsi que la recette de son emblématique gâteau aux noix. « Je sais que je suis à ma place, j’exerce un métier de passion. Je produis dans un atelier des pâtisseries sur commande pour tout type d’événement. Je les vends aussi sur les marchés toute l’année, comme celui de Martel le samedi, ou lors des marchés gourmands d’été. Parmi mes recettes phares : la tartelette aux fraises, le gâteau aux noix, la pavlova. Je fais des choses qui sortent de l’ordinaire, mais à ma façon ».
Lorsqu’elle n’est pas derrière ses fourneaux, Marie fait beaucoup de sport : trail et course à pieds (le coin s’y prête bien), handball au club de Martel… Epicurienne, elle aime les petites choses simples de la vie. Ses desserts préférés ? Le gâteau au chocolat et la tarte aux pommes. Sa passion ? Cuisiner pour réunir sa famille et ses amis, « c’est encore mieux que de partir en vacances ! »

Quentin, directeur d’hôtel et ambassadeur « Oh my Lot ! », favorise le rayonnement et la notoriété du territoire. Comment ? En valorisant la qualité de vie dans le Lot auprès de ses clients.
Après une enfance heureuse à Martel, Quentin a fait des études de finance à Marseille. Il a exercé le métier de banquier d’affaires à Bordeaux pendant trois ans, avant de rejoindre l’hôtel familial en 2019. Son père et lui gèrent l’Ibis et l’Ibis budget de Cahors, en tant que propriétaires franchisés. L’un s’occupe des travaux de rénovation, de la maintenance quotidienne et de la gestion administrative, tandis que l’autre est aux manettes côté personnel, planning et relations commerciales. Leurs hôtels attirent chaque année un nombre important de vacanciers et de clients de passage. Quentin a donc sa carte à jouer pour promouvoir le territoire, et il ne le fait pas à moitié ! En collaboration avec « Oh my Lot ! », il a contribué à l’opération des sets de table, imprimés dans le cadre de la campagne estivale « Le Lot, bien plus qu’une étape » et mis à disposition des restaurants et campings lotois. Il a ainsi proposé son hôtel Ibis pour être point de retrait auprès des restaurateurs cadurciens. Il a aussi aménagé l’espace petit déjeuner avec de la PLV (carte du département, photos des villages qu’il aime) pour donner de la visibilité au territoire. Il oriente même ses clients en recherche de bien à acheter vers des agences immobilières. Il constitue donc un véritable relais pour toucher les touristes et les futurs habitants.
Quentin habite à Labastide-Murat et ne boude pas son plaisir de goûter aux joies de la vie dans la Lot. « C’est le plus beau département de l’univers, il y fait bon vivre. J’ai bien aimé les grandes villes, mais je préfère les arbres aux immeubles. On vit beaucoup plus sereinement, d’abord d’un point de vue financier. Les salaires sont moins élevés, mais le coût de la vie l’est bien moins aussi. Cet argent économisé permet de partir en vacances ou faire des activités variées (spéléologie, escalade…) Puis ici tout est à 30 kilomètres, mais à la fois tout est proche. Alors que quand je travaillais en ville, je mettais 1h15 pour faire 9 kilomètres ».
Entre l’hôtel et son petit garçon, Quentin n’a pas le temps de s’ennuyer ! « Avant j’avais des loisirs, maintenant je suis chef d’entreprise et papa d’un garçon d’un an. Je suis assez gaga de cette peluche, et je trouve ça plus sympa qu’il apprenne à marcher dans l’herbe, plutôt que sur du béton ».

Nicolas, lotois et ambassadeur « Oh my Lot ! », a à cœur la mise en valeur du territoire. Dans le cadre de son activité professionnelle, il représente les couleurs du Lot lors de compétitions d’équitation. Son équipe a notamment participé aux championnats de France dans le Loir-et-Cher fin juillet.
Originaire de Cahors, Nicolas a toujours voulu travailler auprès des chevaux. Après un BEPA activités hippiques, il a été employé par la ferme équestre du Pech Merle située à Cabrerets. Il a ensuite obtenu son BPJEPS tourisme équestre, et a rejoint le Club Hippique du Quercy en apprentissage. Il est également passé par le domaine équestre de Lauzerte, avant de revenir au Club Hippique il y a 12 ans, où il a débuté comme cavalier. Aujourd’hui, il exerce le métier de manager sportif, qui consiste à gérer les écuries, travailler les chevaux, donner des cours d’équitation, préparer les 190 licenciés aux concours et les amener jusqu’aux championnats.
Son équipe a ainsi concouru à l’Open de France 2022 : 9 jeunes ont arboré fièrement leur maillot « Oh my Lot ! » lors des championnats, qui se sont déroulés à Lamotte-Beuvron du 23 au 30 juillet. Une belle opportunité de promouvoir le territoire – propice aux activités de pleine nature et avec de fortes valeurs – et sa qualité de vie. Côté résultats : les cavalières ont décroché la 11ème place en individuel et la 5ème place en équipe.
Mais ce n’est pas tout ! « Lors des finales départementales – qualificatives pour les championnats de France – qui ont eu lieu dans le Lot, nous avions installé des banderoles « Oh my Lot ! » pour promouvoir la qualité de vie ici ». Vous l’aurez compris, le cheval c’est sa passion dans la vie… Et le Lot aussi !

Lotoise d’adoption, Marion joue son rôle d’ambassadrice à merveille. Suivie par près de 36 000 abonnés sur Instagram, elle a travaillé en étroite collaboration avec « Oh my Lot ! » pour organiser un jeu concours dans le cadre du Tour de France et de notre campagne estivale. A la clé, une entrée à gagner pour l'espace Club Tour de France à Cahors, situé juste en face de la ligne d'arrivée. Parmi les conditions de participation : être abonné au compte @ohmylot nouvellement créé. Un joli coup de pouce à la promotion du territoire !
Marion est très active sur les réseaux sociaux, notamment Instagram et Youtube, et ne lésine pas sur le #ohmylot. Cette influenceuse a sa carte à jouer pour donner de donner de la visibilité, et renvoyer une image positive et attractive du Lot. En tant que lotoise de cœur, mordue de vélo et ambassadrice « Oh my Lot ! », c’est tout naturellement qu’elle a été choisie pour mettre en place un jeu concours en collaboration avec « Oh my Lot ! ». Le compte Instagram juste lancé, le timing était tout trouvé. Marion a organisé le concours auprès de sa communauté (non lotoise) et « Oh my Lot ! » lui a offert deux places dans l’espace Club Tour de France à Cahors pour qu’elle en profite avec le/la gagnant(e) du concours.
Vous l’aurez compris : le vélo, c’est sa grande passion ! Son compagnon, qui a d’ailleurs repris un magasin de vélo à Cahors, lui a transmis le virus. « Le Lot offre un terrain de jeu idéal pour les amateurs de sports de nature (vélo, course à pied etc) : parcours superbes, routes calmes... Au-delà de l’environnement naturel qu’on adore, l’ambiance est conviviale et on s’y sent très bien. Le département est agréable à vivre, il nous a plu tout de suite ». Depuis son arrivée il y a 7 ans, Marion poste régulièrement ses sorties vélo et séances de course à pied, valorisant ainsi la pratique sportive dans un cadre magnifique.
Originaire de la région parisienne, Marion a déménagé à Toulouse pendant son adolescence. Après avoir obtenu son agrégation, elle a commencé sa carrière de professeure d’anglais au Nord de Marseille. Un an après ses débuts, elle a eu la chance de revenir dans l’académie de Toulouse et a été mutée au lycée Clément Marot à Cahors. Le hasard fait bien les choses : elle n’avait jamais mis les pieds dans le Lot, mais a décidé d’y rester définitivement. Et pour cause : quoi de mieux qu’un département naturellement sport pour une athlète ?
Petit à petit, Marion fait son nid. Elle a fait construire une maison à Lalbenque, où elle habite actuellement. Maman d’une petite fille de 3 ans, elle a réduit son rythme d’entraînement même si la passion du vélo l’habite encore. Durant son temps libre, elle fait également partie du conseil municipal de Lalbenque, en tant que déléguée aux affaires scolaires et à l’enfance.

Marion et Fabrice, le gagnant du jeu concours, venu de Grenoble !